Pour être heureux, l’une des premières ressources personnelles à cultiver est l’optimisme. Mais voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide n’est pas toujours chose facile et pourtant cette faculté à se montrer optimiste a un réel impact sur notre santé et peut être travaillée.
Qu’est-ce que l’optimisme, clé du bonheur ?
Il ne s’agit pas d’une pensée magique ou de la faculté de voir tout en rose comme si l’on vivait au pays des « bisounours » !
C’est plutôt un état d’esprit qui permet de s’autoriser à envisager une tournure favorable aux événements et à agir dans ce sens. C’est avancer positivement plutôt que de subir, fixer son attention sur la solution plutôt que sur le problème, ne jamais perdre espoir quoiqu’il arrive. C’est aussi faire preuve de bienveillance envers soi-même, accepter le fait que nous ne sommes pas parfaits. Enfin, c’est la faculté à être pleinement conscient et attentif à l’instant présent.
Pas toujours facile n’est-ce pas ? Surtout que cette qualité dépendrait à 50 % de notre prédétermination génétique, la capacité de notre cerveau à sécréter les hormones du plaisir, et pour 10 % de notre environnement et de notre histoire.
Mais heureusement, il reste 40 % sur lesquels nous pouvons agir car l’optimisme ça s’apprend ! Il faut juste entraîner notre cerveau un peu tous les jours à avoir le réflexe « pensée positive ».
Cela vous permettra :
- De porter un regard différent sur vous-même et sur les autres, sur les situations et les épreuves ;
- De prendre de la hauteur sur les événements qui arrivent dans votre vie en relativisant et dédramatisant afin d’entrevoir plus facilement les solutions ;
- D’être plus serein, léger, confiant en un mot plus heureux !
L’optimisme, ça s’apprend !
Pour la majorité d’entre nous qui ne sommes pas dotés dès la naissance d’un indéfectible optimisme, il existe des techniques pour le favoriser et pour se mettre en mode « pensée positive ».
